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L’expérimentation du chantier Mode de vie bas carbone

Le collectif du chantier expérimente 8 éco-habitudes auprès d’une variété de foyers dans la métropole Lilloise.

Après une phase de diagnostic et d’identification d’éco-habitudes pour accompagner le citoyen dans la réduction de son impact carbone, le groupe expérimente ses solutions auprès d’une variété de foyers dans la métropole Lilloise.

Un objectif : accompagner les foyers dans leur transition bas carbone

La lutte contre le dérèglement climatique concerne les citoyens, les entreprises et les pouvoirs publics. Le chantier “Mode de vie bas carbone” a pour objectif d’accompagner la baisse des émissions des citoyens qui, selon l’étude Faire sa part de Carbone 4, ont en leur main la possibilité de réduire les émissions de carbone de 25%.

Avec une représentation des entreprises adhérentes d’Acts and Facts dans 100% des foyers français, le chantier ambitionne d’imaginer des solutions concrètes, proposées par les entreprises aux citoyens, pour accélérer la transition des foyers vers un mode de vie bas carbone.

Dans cette intention, le socle de l’étude mais aussi la convention citoyenne a identifié 4 zones d’impacts et de leviers prioritaires :

  • se nourrir
  • se loger
  • se déplacer
  • consommer des biens et services

Le groupe a ensuite répertorié les solutions (produits, usage et service) présentes dans les entreprises pour réduire cet impact, sous la forme de 8 éco-habitudes à proposer aux foyers français.

L’expérimentation est lancée : quel accueil chez les citoyens ?

L’expérimentation a été lancée mi-juillet avec l’accompagnement de The Field : 20 foyers en métropole Lilloise, d’horizons variés (âge, sexe, structure familiale, niveau d’engagement dans l’écologie…) ont accepté de participer au “Challenge bas carbone”. Cette expérience leur propose de choisir 5 éco-habitudes (parmi les 8 proposées) et de les adopter, au fur et à mesure, sur une durée de trois mois.

Les réductions de carbone correspondantes sont calculées sur la base d’une grille réalisée à l’aide de Dunia, outil de mesure de l’empreinte carbone.

Dunia | Mesure ton empreinte carbone pour la réduire.

Les objectifs de l’expérimentation sont de :

  • baisser d’une tonne de CO2 le bilan annuel de ces foyers en appliquant ces éco-habitudes
  • mesurer l’acceptabilité, en matière de confort et sur le plan financier, et la résistance dans le temps des éco-habitudes et des solutions proposées.

Et après ?

La fin de l’expérimentation est prévue pour début novembre : ce sera alors le moment d’en tirer les conclusions en termes d’expérience pour les participants et d’efficacité réelle sur leur baisse de CO2 émis.

L’étape suivante sera d’identifier avec les entreprises comment elles peuvent proposer ces éco-habitudes à leurs clients de façon viable et performante.

 

Un grand merci à tous les participants de ce chantier :
– Carlota Pina, Carole Serrurier, Estelle Dhalluin et Camille Caron de chez Oney
– Pascal Duhamel de chez Norauto
– Marie Chaillou de chez Decathlon
– Nathalie Shumann de chez Auchan
– Amélie Flament de chez Rouge-Gorge
– Agathe Ruckebusch de cheez Leroy Merlin
– Olivia Guerin et Nadège Delmotte de chez Boulanger

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Les semaines du DD chez Norauto

Du 16 septembre au 8 octobre, le développement durable est à l’honneur chez Norauto.

Du 16 septembre au 8 octobre, le développement durable est à l’honneur chez Norauto, zoom sur ce qu’il s’y passe depuis l’intérieur…

« Cette année, chez Norauto, nous savions que le mois de septembre s’annonçait bien chargé pour le développement durable : trois semaines de « semaines européennes du Développement Durable » du 18 septembre au 8 octobre, une semaine de la mobilité du 16 au 22 septembre et, à l’épicentre de tout cela le World CleanUp Day (WCUD). Bref, que d’événements clés, au siège, mais aussi à l’échelle nationale et locale !

Alors nous avons décidé d’aller encore plus loin en créant le « Mois du Développement Durable ». C’est un événement interne du 6 septembre au 8 octobre qui vise à sensibiliser, faire agir et s’engager nos collaborateurs au siège et dans les centres. Ils sont d’une part les créateurs des solutions de demain et d’autre part les premiers conseillers de nos clients toujours plus en demande de prestations et produits respectueux.

La première partie est le constat, pour apprendre ce qu’il se passe sur notre belle planète et comprendre les enjeux. Cela se traduit par exemple par la diffusion de documentaires, l’organisation de fresques du climat et même un escape game.

Le coeur du mois met les collaborateurs en action, avec le WCUD, du troc, des essais de mobilités nouvelles. Le tout accompagné de lives pour (re)parler des actions à la portée de chacun pour s’engager à son échelle.

Enfin une semaine de conclusion sur ce qui se fait chez Norauto : le challenge DD. Toute une semaine de quiz interactifs en live avec plus d’une dizaine d’intervenants de tous bords pour nous parler de notre trajectoire bas carbone, de l’éco-conception, de nouvelles mobilités et bien d’autres. En fin de semaine, le cumul des scores permettra aux meilleurs collaborateurs de gagner des lots en phase avec le développement durable bien sûr.

Une première, cette année, pleine de promesses avec 22 événements sur le mois, déjà plus d’une centaine d’inscrits et même de volontaires pour aider à organiser et animer les activités. C’est ça, l’esprit DD. »

On refait le point en octobre pour vous parler des résultats de ces opérations.

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Fashion Cube réduit le plastique à usage unique.

La poursuite des objectifs Zéro Déchet avec la suppression des déchets à usage unique dans les enseignes Fashion Cube...

Dans la poursuite des objectifs fixés en 2019 autour du Zero Dechet au sein de l’écosystème Fashion Cube, les enseignes de Fashion Cube  ont entrepris de supprimer les plastiques à usage unique 

Les 6 marques de l’écosystème FashionCube (Bizzbee, Jules, Grain de Malice, Orsay, Pimkie et RougeGorge) se sont fixées en 2019 un objectif de zéro déchet, décliné par les équipes avec le terme  « ZeroWaste ». 

Cet engagement fort a fait émerger un objectif plus audacieux : LE POSITIVE IMPACT FASHION. Cet objectif se concrétise notamment par la suppression des plastiques à usage unique d’ici à 2030. Ces plastiques à usage unique ne sont ni réutilisables, ni recyclables, ni compostables et pourraient le plus souvent être évités ou remplacés par un équivalent réutilisable. 

LE POINT SUR L’ANNEE 2020

En 2020, nos entités ont travaillé à l’identification de ces plastiques dans leur activité, leur répartition et aux premières actions de réduction. A fin 2020, les 4 sources principales de plastique à usage unique en tonnes sont les polybags, les sacs de caisse, les cintres et les enveloppes e-commerce.

En 2020 -35% DE PLASTIQUE

Dès 2020, la réduction de plastique utilisé est de 35% par rapport à 2019 en commençant par éliminer les plastiques jugés non indispensables ou pouvant être remplacés par une solution sans plastique ou non jetable : 

  • Remplacement des sacs de caisse plastique par du papier ;
  • Elimination des polybags unitaires pour des master polybags pour certaines pièces ;
  • Investissement dans des cintres réutilisables en magasin. 

En 2021, DE NOUVEAUX TESTS 

En 2021, la réduction se poursuit avec des recherches d’alternatives pour les plastiques qui ne peuvent pas être supprimés : 

  • une transition vers des polybags recyclés semble nécessaire afin de réduire la pression sur les ressources non renouvelables tant que la recherche sur des polybags en papier ne propose pas une alternative acceptable, 
  • les enveloppes e-commerce vont être remplacées, après une phase de test, par des enveloppes en kraft 
  • et les derniers cintres n’ont pas trouvé d’alternative valable pour les grosses pièces de vêtements mais sont offerts à nos clients pour leur usage personnel.

Dans la recherche de ces nouvelles solutions, le collectif Acts and Facts prendra une fois de plus tout son sens par sa force de frappe collective, et pourra nous permettre d’avoir accès à des produits/solutions inaccessibles pour chacun individuellement.

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L’évaluation de la stratégie de DECATHLON par l’initiative ACT

L’enseigne nous partage le résultat de son évaluation ACT (Assessing Low Carbon Transition) reçue récemment...

Après l’article sur l’initiative ACT à l’été 2020 puis le partage de la note Auchan en décembre 2020, c’est désormais DECATHLON qui vient de faire évaluer ses stratégies de transition bas carbone par l’initiative ACT.

Qu’est-ce que l’initiative ACT ?

La démarche ACT, développée par l’ADEME et le CDP (ex Carbon Disclosure Project), évalue les stratégies de transition bas carbone des entreprises. 

La note se compose de 3 parties :

  • la première partie est une note sur 20 qui évalue la performance de réduction d’impact carbone actuelle et à venir
  • la deuxième partie est une lettre qui donne une appréciation de la solidité de la démarche en cours
  • la troisième partie est un signe mathématique qui indique la tendance de l’engagement de l’entreprise

 

L’évaluation de DECATHLON 

DECATHLON a été évalué 15 B =.

  •     15 correspond au score de performance de transition bas carbone (note de 1 à 20).
  •     B est le score d’évaluation qui restitue une synthèse de l’évaluation au regard de 6 critères complémentaires (échelle de E à A).
  • = est le score de tendance qui indique dans quelle direction il faut s’attendre à ce que le score de l’entreprise évolue si l’évaluation ACT est reproduite ultérieurement. (Sur une échelle – / = / +).

L’évaluation de DECATHLON a souligné les réalisations en cours :

  •     Un objectif de réduction ambitieux qui couvre l’ensemble de la chaîne de valeur.
  •     L’intégration de l’enjeu climat dans les stratégies de l’entreprise.
  •     Les actions pour engager les fournisseurs à réduire leurs émissions et rendre acteur les clients grâce à l’affichage environnemental des produits.
  •     Les participations à des initiatives externes.

Elle a également permis d’identifier des axes de progrès :

  •     Accélérer sur les stratégies d’écoconception à grande échelle.
  •     Accélérer sur les actions d’économie d’usage permettant d’augmenter la durée de vie des produits (réparation, produits d’occasion et location).

Cette évaluation a fait l’objet d’une revue critique par un second cabinet de consultants afin de confirmer les résultats.